Date de sortie : 3 octobre 2019

 

Editeur : Presses de la Cité

 

447 pages

 

Site de la maison d’éditions : https://www.lisez.com 

 

 

 

 

 

Synopsis : 

 

« La liberté est une chose précieuse.

 

Londres, 1850. L'Exposition universelle va bientôt ouvrir ses portes dans le tout nouveau Crystal Palace, et les badauds se pressent pour venir admirer cette merveille. Parmi eux, Iris, modeste employée dans un magasin de poupées, à la beauté mâtinée de difformité, qui rêve de devenir artiste peintre. Et puis il y a Silas, taxidermiste amateur de macabre et de curiosités, désireux d'y exposer ses créatures. Ces deux-là se croisent, et leurs destins en seront à jamais bouleversés. Iris accepte bientôt de poser pour Louis Frost, un jeune peintre préraphaélite. Avec lui, le champ des possibles s'élargit, et le modèle, avide de liberté, découvre peu à peu l'art et l'amour. Mais c'est compter sans Silas, qui rôde non loin de là, tapi dans l'ombre, et n'a qu'une idée : faire sienne celle qui occupe toutes ses pensées, jusqu'à l’obsession... »

 

Mon avis : 

 

J’ai commencé à lire « La fabrique de poupées » via la plateforme Netgalley. J’étais arrivée à peu près à la moitié de ce roman d’atmosphère, quand ma vieille tablette a rendu l’âme. Mes cadeaux d’anniversaire étaient tout trouvés : une liseuse Kobo et la version papier de plusieurs titres dont celui-ci :).

 

Comme en peinture, ce livre est tout en nuances. Il se lit comme un thriller même si son rythme est beaucoup plus lent que dans la littérature policière. J’aime lire des romans gothiques. L’époque victorienne me passionnera toujours et je dois dire qu’elle est éminemment bien décrite, ici. Silas, le taxidermiste est détestable et pourtant c’est lui qui confére toute sa noirceur à cette histoire. Je ne suis pas prête d’oublier le premier ouvrage d’Elisabeth Macneal :D.