Je voulais me faire ma propre opinion sur « Le tatoueur d’Auschwitz » que beaucoup de monde a déjà lu et que vous avez été nombreux à me recommander. Ce livre-ci et d’autres titres du catalogue des éditions City, m’ont donné envie de relire sur le thème de la Shoah. 

 

Au moment où, j’ouvre un roman biographique qui raconte une relation amoureuse entre deux déportés, une question revient en boucle dans mon esprit : comment l’amour peut-il voir le jour dans un camp de concentration ? J’ai lu ce témoignage au combien poignant, en moins de trois jours. Lale et Gita sont la preuve que l’amour peut naître au milieu des cendres. Le point de vue de Lale est fort intéressant. Il vient compléter mes modestes connaissances sur l’extermination du peuple juif menée par l’allemagne nazie, pendant la Seconde Guerre mondiale. 

 

A l’heure où j’écris ces lignes, je continue de découvrir l’écriture sans préjugé, d’Heather Morris avec « Le voyage de Cilka ». Ce tome compagnon donne la parole à une survivante qui était une protagoniste secondaire dans « Le tatoueur d’Auschwitz ».