Date de sortie : 25 février 2009
Editeur : Le Livre de Poche
832 pages
Site de la maison d’éditions : https://www.livredepoche.com
Synopsis :
« Le Maine, 1970. Ben Mears revient à Salem et s’installe à Marsten House, inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingt-cinq ans auparavant. Mais, très vite, il doit se rendre à l’évidence : il se passe des choses étranges dans cette petite bourgade. Un chien est immolé, un enfant disparaît, et l’horreur s’infiltre, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem ».
Mon avis :
Je n’ai pas pour habitude de relire des livres que j’ai déjà lus car à chaque fois que je tente l’expérience, toute l’intrigue me revient en mémoire au fur et à mesure de cette relecture, mais mes promenades dans l’arrière-pays niçois, m’ont donné envie de revenir à Salem.
Tout commence par des disparitions d’enfants à la tombée de la nuit. En s’en prenant aux plus vulnérables d’entre nous, Stephen King joue avec nos peurs les plus profondes. Peu à peu, l’histoire se complique et s’intensifie suite à l’apparition de vampires. Cette fois encore, j’ai pris plaisir à assister au réveil de morts-vivants qui sont l’incarnation du Mal. J’ai brusquement été rattrapée par l’horreur de la situation. A plusieurs point de vue, le village de Salem est immortel.
La fin de ce bon gros bouquin compte deux nouvelles sur ce trou paumé du Maine et des scènes coupées parce que monsieur King voulait que ses fans puissent les lire.